Nouvelles protections auditives contre l'eau! Totalement imperméables à l’eau et d’un excellent maintien, les protections auditives en silicone de Quies permettent de nager librement et évitent toute entrée d’eau dans les oreilles. Leur texture très malléable et douce s’adapte parfaitement au conduit auditif. Ces protections auditives protègent également contre la poussière, le froid et le bruit (-24 dB) sans couper de l’environnement extérieur. Par ailleurs, elles sont réutilisables.
Commencée dès 2006, une étroite collaboration entre l'équipe-projet Demar de l'INRIA Sophia-Antipolis, que dirige David Guiraud, et l'entreprise MXM, a conduit au développement d'un nouveau type d'implants cochléaires qui devraient arriver sur le marché au cours des prochaines années. Rappelons qu'un implant cochléaire est un dispositif électronique qui permet d'améliorer l'audition par stimulation des terminaisons nerveuses. Mais le concept breveté par l'INRIA, lui, est totalement nouveau, David Guiraud allant jusqu'à parler de "rupture technologique". Il s'agit en effet d'un réseau de petits implants capables de générer un profil complexe de stimulation.
Si jusqu'à présent, l'architecture des neuroprothèses était basée sur un implant central relié par des fils aux électrodes, le système développé par l'équipe de l'INRIA est constitué de plusieurs unités de stimulation disposant chacune de son système électronique à proximité. Résultat, plus de fil pour les relier aux électrodes. D'où la possibilité de moduler le nombre d'unités de stimulation en fonction des besoins de chaque patient.
Autre avantage de ce nouveau système, il peut être implanté par endoscopie, au contraire des implants classiques dont la pose nécessite une intervention plus invasive. Enfin, le profil de stimulation, via des électrodes multipolaires et non uniquement bipolaires, permet de focaliser les courants électriques. Il est alors possible de générer des stimulations plus physiologiques et mieux focalisées, ce qui à moyen terme ouvre la voie à des perspectives médicales tout à faire intéressantes, en particulier pour les personnes atteintes de surdité.
Cette année encore, la JNA a fédéré de nombreux acteurs de l'audition à travers toute la France. Une mobilisation qui confirme le succès allant crescendo de cet événement : 1 368 audioprothésistes, 81 ORL et 129 associations ont participé cette année à cette journée d’information, de sensibilisation et de prévention, et ce dans plus de 900 villes françaises… Des chiffres en légère augmentation par rapport à l’édition précédente. Depuis 14 ans, la Journée nationale de l’audition s'impose comme une grande campagne de santé publique fédérant l'ensemble des acteurs de la filière de l'audition, avec aussi, les orthophonistes, les médecines du travail, villes et collectivités, CRIJ, services de médecine préventive des écoles, Lycées, collèges et Universités, institutions de retraite, mutuelles de prévoyance et de santé, etc. À cette occasion, différentes animations ont été mises en place à travers la France : tests de l’audition, actions culturelles, conférences, expositions et concerts pédagogiques. Objectif : mieux appréhender les mécanismes de l’oreille, les préserver et connaître les risques que l’on peut encourir dans certaines situations. L'an passé, la campagne a permis d’accueillir et d’informer près de 200 000 personnes.
La JNA a également poursuivi son ouverture sur l’étranger, initiée l’an dernier en Suisse et à Monaco, et qui s’est élargie cette année à la Belgique, la Thaïlande et à l’île Maurice.
Les médias ont relayé l’événement en nombre, que ce soit la presse écrite, la radio ou la télévision, autour de la thématique “Les nuisances sonores et la gêne auditive”. En amont, une enquête nationale a été réalisée par l’institut de sondage et d’étude Ipsos, auprès d’un échantillon de 992 individus âgés de 20 ans et plus, représentatif de la population de l’Hexagone.
Rendez-vous est d'ores et déjà donné par l’association JNA pour sa 15e édition qui se tiendra le jeudi 8 mars 2012.
Le bruit rend sourd… Oui, mais pas seulement. S'il provoque en effet d'importants dégâts sur notre système auditif, notamment les célèbres acouphènes, nos chercheurs s'intéressent aussi à des conséquences moins connues, sur les systèmes cardiovasculaire et immunitaire, le sommeil et même l'acquisition du langage. Le point sur ces pathologies et les recherches menées autour de cette question de santé publique.
Le bruit a aussi des conséquences néfastes sur le sommeil. Pour mieux les cerner, des chercheurs étudient les réactions, notamment cérébrales, de patients dans les bras de Morphée, exposés à des bruits artificiels.
Première cible : l'audition
Dix pour cent de la population française souffre de problèmes auditifs, soit plus de 6 millions de personnes. Or, de plus en plus d'entre elles doivent leur malheur au bruit, et plus précisément aux sources sonores créées par l'homme. À cause d'elles, aujourd'hui, la surdité précoce dès l'âge de vingt ans augmente, et s'aggrave au cours de la vie sous l'effet d'autres facteurs tels que le vieillissement ou la génétique.
Alors que se passe-t-il au cœur de l'oreille ? Capté par le pavillon, le bruit est transmis aux liquides de l'oreille interne. Là, les cellules sensorielles, qui « réceptionnent » le bruit avant de le transmettre au cerveau, existent en nombre restreint et ne se renouvellent pas. Lorsque la quantité d'énergie transmise à l'oreille interne est excessive (lors de chocs sonores), des lésions de ces cellules « ciliées » – elles possèdent des cils sensibles aux vibrations sonores – apparaissent. « Elles peuvent être fragilisées ou détruites, c'est la surdité. En outre, lorsqu'elles sont trop stimulées, leur neurotransmetteur, le glutamate, est alors libéré en excès, ce qui suractive le nerf auditif et peut détruire les neurones liés au système auditif », explique Patrice Tran Ba Huy, chercheur au Laboratoire de neurobiologie des réseaux sensorimoteurs1 et chef du service ORL de l'hôpital Lariboisière de Paris. L'oreille a bien un système de défense, un muscle situé dans l'oreille moyenne, mais celui-ci se contracte par réflexe en 30 millisecondes, trop tard donc pour des bruits impulsionnels. En outre, ce muscle est fatigable et donc inefficace sur une longue durée. Enfin, il n'entre pas en jeu pour des fréquences aiguës.
Résultat : la liste des conséquences possibles du bruit est longue. Une baisse d'audition d'abord, ou « hypoacousie », via la perte de la sensibilité à certaines fréquences (les graves et les aigus), irrémédiable car les prothèses conventionnelles n'interviennent que sur les pertes de décibels (niveau sonore). Des acouphènes peuvent aussi apparaître brutalement, qui n'ont rien d'hallucinations auditives. Ils concernent 10 à 15 % de la population. Ces sifflements se font entendre aux fréquences de l'oreille affectées par la perte auditive, souvent localisées dans les aigus. Selon Sylviane Chéry-Croze, ex-directrice de recherche du CNRS et présidente d'honneur de l'association France-Acouphènes2, « à la suite d'un choc sonore, la perte auditive périphérique s'accompagne de l'apparition d'un message nerveux aberrant, qui circule dans les voies auditives jusqu'au cerveau, donnant lieu à cette perception. Selon les recherches actuelles, il pourrait être généré soit à la périphérie de l'oreille, soit au niveau du cortex auditif ». En effet, la perte auditive s'accompagne d'une réorganisation des neurones, qui se partageaient jusqu'ici les fréquences de manière équilibrée. La redistribution des fréquences pourrait provoquer un déséquilibre qui expliquerait l'apparition du signal.
Ces mêmes changements seraient également responsables de l'hyperacousie, pathologie souvent présente en même temps que l'acouphène. Ce trouble auditif, de plus en plus fréquent chez les jeunes, consiste en une intolérance à des bruits normaux ou faibles habituellement bien supportés.
Diagnostic et thérapies:
Comment savoir si un trouble auditif va devenir permanent ? Des recherches sont menées pour créer de nouvelles méthodes de diagnostic. Dans le cas des acouphènes, Annie Moulin, du laboratoire CNRS « Neurosciences et systèmes sensoriels » de Lyon3 avec Jean-Bertrand Nottet de l'hôpital militaire Desgenettes de la même ville, mesurent par exemple les « oto-émissions acoustiques » des oreilles de militaires souffrant de traumatismes acoustiques accidentels (explosions, tirs d'armes…). Il s'agit de sons émis par l'oreille, qui reflètent l'état fonctionnel des cellules ciliées. « Nous recueillons la réponse des oreilles dans les 24 heures qui suivent l'accident. Elle permet des prédictions plus précises que les tests d'audiométrie classiques et ne requiert pas l'attention du patient perturbé par ses acouphènes », précise la chercheuse.
Après le diagnostic, place aux traitements. Actuellement, les chercheurs tentent par exemple d'utiliser la plasticité du cerveau – sa capacité à s'adapter aux changements. Depuis deux ans, Arnaud Norena, de l'unité CNRS « Neurobiologie intégrative et adaptative » de Marseille4, étudie la possibilité de réduire la perte auditive après un traumatisme sonore.
Une autre piste donc à suivre de près… Car à ce jour, il n'existe aucune solution qui permette réellement de réparer l'audition perdue. Dans le cas des acouphènes par exemple, un procédé existe, le caisson hyperbare dans lequel les patients sont soumis à une pression de l'air élevée juste après le choc sonore, afin d'augmenter le taux d'oxygène dans l'oreille interne. Mais cette technique ne fait pas l'unanimité. Au final, le seul véritable remède anti-acouphène est « l'habituation ». Explication de Sylviane Chéry-Croze : « Ce trouble peut être progressivement filtré par les patients qui ne redoutent plus ses conséquences : la présence répétée ou continue d'un même stimulus qui bombarde le système nerveux s'accompagne d'une diminution de sa perception puis de son blocage non conscient, pourvu qu'il n'ait pas de signification particulière pour l'individu. » Quatre-vingts pour cent des acouphéniques y parviennent en moins d'un an, les autres, soit près de 2 millions de personnes, continuent de souffrir.
Des échos dans tout l'organisme:
La nuit, le bruit continue d'agresser l'organisme. Pour évaluer l'influence du bruit nocturne sur le sommeil, Alain Muzet et son équipe du Centre d'études de physiologie appliquée du CNRS de Strasbourg ont observé des patients dormir pendant quinze nuits, exposés à des bruits artificiels et contrôlés par les chercheurs. Résultat : « Dès les deux à cinq premières nuits, les personnes ne mentionnent plus le bruit comme un fauteur de trouble. Pourtant, leurs réponses cardio-vasculaires à la suite des bruits gardent la même amplitude pendant les quinze nuits ». Mêmes observations sur le long terme lors d'une étude menée sur le sommeil à Roissy, près de l'aéroport, pendant cinq ans : modifications de la fréquence cardiaque, du rythme respiratoire, contraction du volume de certains vaisseaux sanguins, etc.
« La nuit, le bruit modifie la structure de l'endormissement dans les deux premiers stades du sommeil. Aucun effet n'est observé pendant les stades 3 et 4, lors du sommeil lent profond, sauf parfois des retours inexpliqués à l'étape antérieure », poursuit Alain Muzet, qui diagnostique cela en plaçant différentes électrodes sur ses patients endormis, notamment à la périphérie des yeux pour repérer les mouvements oculaires, car les globes ne bougent que lors du sommeil paradoxal. « Vingt pour cent des Français ont des troubles du sommeil. Beaucoup d'insomniaques le sont parce que leur environnement est déstructurant. Pourtant, on leur donne souvent des médicaments hypnotiques sans intervenir sur cette véritable cause », rappelle Pierre Philip, de l'unité « Physiologie et physiopathologie de la signalisation cellulaire » de l'hôpital Pellegrin5 à Bordeaux, un des centres du sommeil français. Quant à l'influence sur le sommeil du bruit entendu pendant la journée, impossible pour les chercheurs de la quantifier.
Mais notre organisme est aussi soumis à rude épreuve lors des phases d'éveil. Une des raisons ? « À chaque bruit, le corps stimule des réflexes de défense, précise Alain Muzet. Les animaux fuient au moindre bruit. Nous non, mais notre cœur s'emballe toujours, ce qui prépare notre corps à réagir en cas de danger. » Perçu au niveau du système nerveux central, le bruit est un facteur de stress et de fatigue. Ainsi, l'OMS précise que « le bruit peut compromettre la qualité du travail et provoquer des changements de comportement social ». À titre d'exemple, une étude menée à Copenhague : autour de l'aéroport, 25 % de la population consomme des tranquillisants, contre 17 % dans des zones reculées. Du côté scientifique, peu de questions restent encore en suspens. Le bruit crée des troubles endocriniens : le taux d'hormones révélatrices de l'état de nervosité s'amplifie. Cette libération chronique d'adrénaline ou surtout de cortisol et de catécholamines tend finalement à faire baisser les défenses immunitaires du corps. Quant aux risques cardio-vasculaires, les cas d'infarctus du myocarde augmentent dès que le bruit des transports autour du logement dépasse 60 dB(A), selon une analyse de 61 études internationales. Et récemment, une étude suédoise a également montré le lien entre le bruit du trafic routier et l'hypertension sur plus de 500 personnes : entre 45 et 65 dB(A), le risque d'hypertension augmente de 38 % pour chaque hausse de 5 dB(A).
Le bruit, un cas d'école:
Si tout le monde souffre du bruit, le cas des enfants est plus grave encore. En effet, avant même d'altérer les systèmes auditifs ou cardiaques, le brouhaha dégrade l'apprentissage du langage dès le plus jeune âge. Johannes Ziegler, chercheur au Laboratoire de psychologie cognitive (LPC) de Marseille6, s'intéresse à cette problématique depuis plusieurs années :
Pour approfondir ces travaux, il prépare maintenant une étude sur plus de cent enfants de maternelle à Marseille. Ils seront suivis pendant un an, afin de définir les causes de leurs possibles déficits de perception de la parole dans le bruit. L'idée ? Réussir à préciser les variables en jeu en maternelle pour de futurs échecs de lecture. Un outil de prédiction important, donc.
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Le bisphénol A (BPA) est un composé chimique de synthèse largement utilisé dans la fabrication industrielle des récipients en plastique de type polycarbonates, tels les CD, les lunettes, certaines bouteilles plastiques ou certains biberons. On le retrouve également dans les résines époxy constituant les revêtements intérieurs des boîtes de conserve, les canettes de boissons ou les amalgames dentaires. Or, cette molécule peut modifier les équilibres hormonaux des vertébrés, en interagissant directement avec les récepteurs hormonaux ou bien avec les enzymes qui assurent le métabolisme de ces hormones : c'est un perturbateur endocrinien. En effet, le BPA est capable de se lier aux récepteurs des oestrogènes, les hormones sexuelles féminines, et de mimer leur action dans l'organisme. C'est pourquoi il est aujourd'hui classé reprotoxique de catégorie 3, c'est-à-dire jugé "préoccupant pour la fertilité de l'espèce humaine" en raison "d'effets toxiques possibles" mais non démontr és sur la reproduction. Les évaluations de risque ont conduit à définir une dose journalière tolérable (DJT) de 50 µg de BPA par kg de poids corporel et par jour, soit 2,5 mg par jour pour un individu de 50 kg. Jusqu'à présent, la plupart des études menées pour caractériser et évaluer ses effets dans le corps humain ont concerné la fonction de reproduction et le développement du cerveau (2).
Les chercheurs se sont intéressés à l'effet de ce composé sur le développement embryonnaire. Pour cela, ils ont exposé des oeufs de poissons zèbre (Danio rerio) à des concentrations de plus en plus importantes de BPA (de 1 mg/L à 20 mg/L). Et le résultat n'a pas manqué de les surprendre : la plupart des embryons de poissons zèbre ont, après exposition au BPA, présenté des anomalies au niveau des otolithes, de petites structures de l'oreille interne qui servent à contrôler l'équilibre et jouent aussi un rôle dans l'audition. Pour 60% des emb ryons, des agrégats d'otolithes se sont formés. D'autres ano! malies d e l'oreille interne, moins fréquentes, ont également été relevées. Au-delà d'une concentration de 15mg/L, tous les poissons zèbre ont développé des anomalies. Mais, cette dose correspond à une exposition très aigüe, bien plus élevée que la gamme d'exposition possible de l'être humain. Allant plus loin, les scientifiques ont renouvelé leur expérience sur un autre vertébré de la famille des amphibiens, le xénope. Là aussi, ils ont constaté le développement d'anomalies sur l'oreille interne, suggérant que cet effet pourrait exister chez d'autres vertébrés. Les scientifiques ont ainsi mis en évidence un effet inattendu du BPA, jamais observé jusqu'à présent. Bien entendu, rien ne peut être déduit pour l'homme, tant que des mécanismes d'action n'auront pas été totalement élucidés et que des recherches approfondies n'auront pas été menées chez les mammifères et sur l'être humain en particulier.
De plus, les chercheurs ont constaté qu'en bloquant les récepteurs des oestrogènes, la cible classique du bisphénol A, ces anomalies persistaient, supposant que le BPA se fixerait sur un autre récepteur. Ce nouvel effet serait donc totalement indépendant des récepteurs des oestrogènes.
Ces travaux démontrent clairement qu'outre ses effets reprotoxiques, le bisphénol A, à des doses assez élevées, agit aussi sur le développement embryonnaire. Ils révèlent également que les cibles d'action de ce composé sont plus nombreuses que ce que l'on pensait jusqu'à présent. Enfin, ils ouvrent de nouvelles perspectives de recherche afin de caractériser le fonctionnement du bisphénol A et d'évaluer correctement ses effets.
Source CNRS
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Hauts de Seine - 92
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80 Avenue de la Division Leclerc-RN20
92160 Antony
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92340 Bourg-La-Reine
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